Recrutement
&
talents

« Les intérêts professionnels favorisent le bien-être au travail », Central Test

Le | Contenu sponsorisé - Solutions d'évaluation

Alors que la France arrive au 3e rang des pays recensant le plus grand nombre de burn-out, le bien-être au travail est une question centrale aussi bien dans la gestion des carrières que dans le recrutement. Comment les intérêts professionnels peuvent-ils favoriser le bien-être au travail ? Le point avec Helen Simard-Périé, consultante psychologue au sein de Central Test

« Les intérêts professionnels favorisent le bien-être au travail », Central Test - © D.R.
« Les intérêts professionnels favorisent le bien-être au travail », Central Test - © D.R.

Comment définiriez-vous le bien-être au travail et quels sont les enjeux en entreprise ?

Selon la définition officielle donnée par l’OMS, le bien-être au travail est un état d’esprit dynamique, caractérisé par une harmonie satisfaisante entre les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur, d’une part, et les contraintes et les possibilités du milieu, d’autre part. Les employeurs et les collaborateurs sont coresponsables de ce concept. Les premiers doivent instaurer un environnement sain, de bonnes conditions de travail, un management bienveillant ou encore une équité de gestion ; tandis que les seconds doivent trouver un sens à leur mission et définir leurs besoins, leurs capacités et de quelles façons et dans quel environnement, ils souhaitent travailler. Plus les collaborateurs se sentent bien dans leur travail, plus ils sont productifs et fidèles à leur entreprise. 

Quel rôle jouent les intérêts professionnels dans le bien-être au travail ? 

Le bien-être, le plaisir et le bonheur au travail reposent en grande partie sur l’intérêt et la motivation qu’éprouve un salarié au travail. Il est donc essentiel, dès le recrutement, d’évaluer si l’emploi et l’entreprise où un candidat est susceptible d’être embauché, seront pour lui source de plaisir et d’épanouissement.

Aujourd’hui, les processus de recrutement se cantonnent encore trop souvent à l’évaluation des compétences. Si ces informations demeurent bien sûr essentielles en permettant d’anticiper sur la capacité du candidat à bien réaliser ses missions, il ne faut pas pour autant sous-estimer l’évaluation des intérêts, comme sources de satisfaction, des motivations et du plaisir au travail. En évaluant dès la phase de recrutement les intérêts d’un candidat, l’entreprise peut ainsi discerner lequel sera le plus motivé par le poste, séduit par son environnement, et donc restera plus longtemps. Cela permet ainsi de sécuriser les décisions de recrutement. 

Comment le nouvel outil de Central Test, VOCATION, permet-il de répondre à cet enjeu ? 

Nous avons lancé récemment VOCATION, la version révisée de l’Inventaires d’Intérêts Professionnels-R. Cette nouvelle version a été enrichie afin de mieux refléter l’environnement de travail actuel et réduire les éventuels biais culturels. Basé sur le modèle RIASEC, les intérêts et les valeurs du futur collaborateur, ses aptitudes potentielles, ses traits de caractère, son style d’apprentissage et ses environnements de travail où il pourrait le mieux évoluer. Le questionnaire composé d’une soixantaine de questions est moderne, concret et court de passation. Les résultats mettent en avant 36 compétences potentielles d’un candidat, et permettent de le positionner par rapport à 138 métiers possibles. C’est un outil incontournable à la fois pour l’orientation professionnelle, les plans de développement individuels, ainsi que les processus de recrutement.